LE CARNET DE ROUTE - "Le sport cycliste reste malgré tout un sport écologique", explique Jalabert

Le Tour de France - A podcast by RTL

Le Tour de France opère une dernière journée de repos, lundi 18 juillet, à l'ombre d'une nouvelle polémique : la Grande Boucle est taxée d'anti-écolo, car face à la vague de chaleur, les organisateurs vont devoir entretenir les routes en aspergeant le bitume. 10.000 litres d'eau sont stockés pour la fin du Tour dans les Pyrénées. "Là, on parle de sécurité, celle des coureurs, celle de la route, explique le consultant RTL Laurent Jalabert. L'eau est un élément précieux, bien sûr qu'il ne fait pas la gâcher, surtout en cette période (...) Là, c'est juste pour refroidir des plaques de goudron sur quelques dizaines de mètres, à l'endroit où il fond et où ça devient extrêmement glissant". "Le réchauffement climatique, c'est un vrai problème, évidemment qu'il faut prendre en considération tous ces éléments. Mais le sport cycliste reste malgré tout un sport écologique. On peut être contre le Tour de France, on peut ne pas aimer le vélo, mais de là à dire que c'est un sport qui pollue, non".

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